29 mars 2007



Un livre concernant Andrée Lavieille et son œuvre est paru en mars 2007 :
"Dans le sillage des impressionistes, Andrée Lavieille (1887-1960)"
Éditions Atlantica

par Françoise Cambon et Henri Cambon

Présentation du livre sur le site des Éditions Atlantica-Séguier :
Andrée Lavieille se révèle tout entière dans sa peinture. Son goût pour les choses simples, son amour de la campagne et de la mer, sa passion pour les grands espaces se manifestent dans ses tableaux. Intérieurs, natures mortes ou paysages, elle a su traduire avec art, tendresse et caractère, à travers peintures à l'huile et aquarelles, le jeu des couleurs, la délicatesse des reflets, les variations de la lumière. Imprégnée du classicisme d'un Chardin, mais proche des impressionnistes, elle évoluera tout au long de sa vie, se rapprochant parfois des Fauves. Un jour viendra sans doute où Andrée Lavieille occupera la place qui est la sienne et dont seule sa discrétion naturelle l'a éloignée.

27 mars 2007

Les échos d'une vente de tableaux (Vendôme - 14 janvier 2007)


Les échos d'une vente de tableaux organisée à Vendôme par Me Philippe Rouillac, le 14 janvier 2007 :
France-Info, samedi 6 janvier 2007, par Françoise Chauvin :
" Andrée Lavieille compose des natures mortes tranquilles. […] En Bretagne, sur des cahiers à spirale, elle trace à l'aquarelle le mouvement des vagues et les couleurs de la lande. "
La Gazette de l'Hôtel Drouot, 19 Janvier 2007, n° 3, p.98 :
" Petite fille d'Eugène Lavieille, Andrée poursuit la tradition familiale en entrant à l'Ècole des Beaux-Arts, dans l'atelier de Ferdinand Humbert. Attirée tout d'abord par la nature morte, elle se tourne aussi vers l'art du paysage et représente avec autant de bonheur des vues de Chartres, de Vendôme ainsi que les bords de mer comme Fin de saison au Pouldu (exposé au Salon des Artistes Français en 1939). "
L'œil, janvier 2007, n° 587, article d'Armelle Malvoisin, p.110 :
" Andrée Lavieille développe un certain classicisme s'inspirant des natures mortes de Chardin à la musicalité tranquille.
Parallèlement, elle se montre plus audacieuse quand en Bretagne, notamment après Paul Gauguin, elle est attirée par les paysages du Pouldu. […] Elle magnifie, par des coloris tranchés et un sens de la lumière, cette côte rocheuse du Finistère Sud.
Si Andrée a exposé au Salon des Artistes Français, elle n'a jamais fait d'expositions personnelles, si bien que son œuvre n'est pas connue. "